Elévation des résolutions corporatives en acte public | Notariat de Jesús Benavides
Mercantile

Enregistrement public des résolutions des sociétés

Étape 1

Qu'est-ce qu'un acte de conversion de résolutions de sociétés en acte public ?

Il s'agit de l'acte notarié par lequel les décisions des organes de direction d'une société, qu'il s'agisse de son assemblée générale ou de son organe d'administration, sont consignées dans un acte public autorisé par un notaire, aux fins de les attester et, le cas échéant, de permettre leur inscription au registre du commerce.

Étape 3

Combien coûte la signature d'un acte de notarisation de résolutions d'entreprise ?

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Il s'agit d'une estimation purement informative et non contraignante. Cette estimation est calculée sur la base de deux critères : 1) notre connaissance du tarif notarial (décret royal 1426/1989, 17 novembre 1989) et 2) notre connaissance du tarif notarial. (Décret royal 1426/1989, du 17 novembre) et 2) notre expérience quotidienne dans la préparation de ce type d'acte notarié. Toutefois, toute variation (à la hausse ou à la baisse) sera dûment justifiée au moment de l'émission de la facture finale du service notarial rendu.

Étape 4

Autres questions fréquemment posées

Qu'est-ce qu'un acte de conversion de résolutions de sociétés en acte public ?

Comme nous l'avons expliqué lors de l'analyse des autres institutions relatives au droit des sociétés, les sociétés commerciales sont, comme chacun sait, des instruments juridiques que notre système juridique a conçus pour promouvoir et faciliter les activités économiques et commerciales qui créent de la richesse et de l'emploi pour la communauté et la société, Tout cela au moyen d'un contrat par lequel deux ou plusieurs personnes s'engagent à mettre en commun de l'argent, des biens ou de l'industrie, dans l'intention de partager les bénéfices entre elles, créant ainsi des entités dotées d'une personnalité juridique propre et d'un patrimoine distinct de celui de leurs partenaires, avec lequel elles peuvent financer leur activité sociale et répondre aux dettes et aux engagements sociaux qu'elles contractent.

Sur cette base, comme il est logique, les sociétés de capitaux, au cours de leurs opérations sur le marché, peuvent trouver nécessaire d'apporter de nombreuses modifications à leurs structures juridiques ou à leurs organes de direction afin de les adapter à l'évolution de leurs besoins, tels que les changements d'adresse, de dénomination, d'objet social, les licenciements et les nominations, les modifications du système de gestion de la société, l'augmentation ou la réduction du capital, les fusions, les modifications du système de gestion de la société, etc.

De même, à certaines occasions, les sociétés commerciales doivent prendre des décisions importantes pour leurs activités ou leur stratégie future, comme accepter d'acheter une société concurrente, opter pour l'émission de titres de créance, comme des obligations, afin d'obtenir des financements pour entreprendre des projets d'investissement, etc., pour lesquelles il est également nécessaire de les inscrire dans un acte public.

En ce qui concerne ces modifications ou décisions, étant donné l'importance de nombre d'entre elles, le législateur a jugé opportun qu'elles soient transmises par le biais d'un acte public, qui sera connu sous le nom d'acte de conversion des résolutions corporatives en acte public, dont le but sera de documenter l'acte juridique ou l'activité réalisée par la personne morale compétente pour le faire.

Quant à leur nécessité, voir à cet égard l'article 95 du règlement sur le registre du commerce, qui exige la forme d'un acte public pour l'inscription au registre du commerce d'un certain nombre d'actes spécifiés à l'article immédiatement précédent du règlement, dont par exemple la modification des statuts.

Ainsi, les actes d'authentification ne peuvent pas être considérés comme un simple instrument de notarisation d'un document privé, mais plutôt comme un véritable filtre de légalité des résolutions et des actes adoptés par les organes des sociétés de capitaux, de sorte qu'il ne peut s'agir d'un document public qui se contente de faire référence aux dispositions d'un certificat délivré par l'organe compétent, Il s'agira plutôt d'un véritable document juridique soumis au contrôle préventif de légalité du notaire, un officier public impartial et indépendant, un professionnel du droit, qui s'assurera que les actes et résolutions à authentifier sont conformes à la loi.

Comment les résolutions des entreprises sont-elles rendues publiques ?

Conformément à l'article 107 du règlement du registre des sociétés, les résolutions de l'assemblée générale ou spéciale et les résolutions des organes administratifs collégiaux peuvent être converties en acte public sur la base du procès-verbal ou du livre des procès-verbaux, de la preuve notariée ou de la certification des résolutions. De même, cela peut également se faire sur la base de la copie autorisée du procès-verbal, lorsque les résolutions sont enregistrées dans l'acte notarié.

Par conséquent, les sociétés intéressées doivent fournir l'un des documents susmentionnés lors de l'exécution de l'acte en question, dans lequel sont consignées toutes les résolutions et les circonstances de leur adoption nécessaires pour juger de la légalité des résolutions.

Cela est donc nécessaire, car l'acte de l'exécution publique de la résolution corporative doit contenir toutes les circonstances de l'acte qui sont nécessaires pour la validité de la résolution et, le cas échéant, le notaire enregistre dans l'acte l'avis de convocation publié ou en fait un acte notarié.

Qui a le pouvoir de transformer les résolutions des entreprises en actes publics ?

En de nombreuses occasions, les entreprises se posent la question de savoir qui est habilité à se présenter devant un notaire pour signer l'acte correspondant afin de convertir les résolutions de la société en un acte public. Nous allons tenter de répondre à cette question ci-dessous afin que les personnes intéressées par ce type de document sachent clairement qui doit procéder et comment, en fonction du type de résolution et de l'organe qui l'émet :

1) Conformément à l'article 108 du règlement du registre du commerce et des sociétés, relatif aux personnes habilitées à certifier, la certification des résolutions sociales adoptées par l'assemblée générale ou extraordinaire ou par un organe collégial d'administration incombe à la personne habilitée à les certifier, ce qui, en vertu de l'article 109 du règlement précité, incombe à la personne habilitée à certifier les procès-verbaux et les résolutions des organes collégiaux des sociétés commerciales :

  • Dans le cas où la société est dirigée par un conseil d'administration, au secrétaire et, le cas échéant, au secrétaire adjoint du conseil d'administration, qu'il soit ou non administrateur. Les certificats sont toujours délivrés avec l'accord du président ou, le cas échéant, du vice-président de cette instance.
  • L'administrateur unique, ou l'un des administrateurs solidaires, lorsque la société est régie par ce type d'organe administratif.
  • Aux administrateurs qui ont le pouvoir de représentation en cas d'administration conjointe ou solidaire.

Dans tous ces cas, il sera nécessaire que les personnes qui délivrent le certificat aient leur position en vigueur au moment de la délivrance, puisque pour enregistrer les accords contenus dans le certificat, la position du certificateur doit avoir été enregistrée avant ou en même temps.

En tout état de cause, sur le plan formel, il faut également tenir compte du fait que les accords qui ne sont pas consignés dans des procès-verbaux ou des actes notariés approuvés et signés ne peuvent être certifiés.

2) Les décisions de l'associé unique, consignées dans un procès-verbal sous sa signature ou celle de son représentant, peuvent être exécutées et formalisées par l'associé lui-même ou par les administrateurs de la société.

3) Elle peut également être exécutée par n'importe lequel des membres de l'organe d'administration ayant une nomination valide et inscrits au registre du commerce, lorsqu'ils ont été expressément habilités à le faire dans l'acte social ou lors de la réunion au cours de laquelle les résolutions ont été adoptées.

4) La transformation en instrument public par toute autre personne nécessite l'octroi d'une procuration appropriée, qui peut être générale pour tous les types de résolutions, auquel cas elle doit être inscrite au registre du commerce. Cette procédure n'est pas applicable à la conversion de résolutions corporatives en acte public lorsque le procès-verbal ou la preuve notariée de celles-ci sert de base à cette conversion.


Il convient également de rappeler que lorsque le registre du commerce a été fermé pour défaut de dépôt des comptes, la personne qui convertit les résolutions de la société en acte public doit mentionner cette circonstance dans l'acte.

Enfin, le lecteur doit également savoir que le pouvoir de délivrer des certificats des procès-verbaux ou des résolutions de l'assemblée des obligataires est dévolu au commissaire de l'assemblée des obligataires (article 110 du règlement du registre des sociétés). 

En résumé, il convient donc de prendre en compte les questions particulières suivantes :

  1. La personne qui délivre le certificat doit avoir son titre en vigueur et enregistré, comme le montrent, parmi beaucoup d'autres, les décisions de la Direction générale de la sécurité juridique et de la foi publique du 26 février 2013 et du 24 avril 2014. Ainsi, s'il est établi qu'il n'est pas en vigueur en vertu d'un certificat présenté à une date ultérieure, l'enregistrement du certificat précédent pourrait être suspendu.
  2. Le certificat peut également être délivré par le directeur général de la société, à condition que ce pouvoir lui ait été attribué ou qu'il ait reçu délégation de tous les pouvoirs qui lui sont délégués par la loi et par les statuts de la société.
  3. Dans le cas des décisions de l'actionnaire unique, si celui-ci est une personne morale, le pouvoir de certifier ces décisions peut également être détenu par un mandataire ou un représentant volontaire de l'actionnaire unique (Résolution du Comité directeur du 1er juin 2005).
  4. De même, la doctrine de la Direction générale de la sécurité juridique et de la foi publique a également admis comme valide l'attestation des conventions émises par l'actionnaire unique lorsque celui-ci n'est pas inscrit au registre du commerce (résolution du 22 avril 2014). 
  5. En cas d'accord sur la dissolution d'une société et la révocation de son administrateur, ce dernier ne peut pas rendre publiques les résolutions de la société, même s'il est spécialement habilité à le faire par l'assemblée des actionnaires, car, en cas de dissolution, sa révocation opère ope legis (résolution du 26 février 2013).

Quel doit être le contenu de la certification ?

Dans la certification qui peut être délivrée, les accords auxquels l'acte doit se référer doivent logiquement être enregistrés, avec toutes les exigences qui sont légalement requises pour la modification ou l'accord qui est recherché.

De même, pour que le Registre du Commerce puisse juger de la validité et de la légalité de l'accord, la doctrine de la Direction Générale de la Sécurité Juridique et de la Foi Publique a établi dans ses résolutions que la liste des participants, leur signature et leur acceptation de l'ordre du jour (résolution du 17 avril 1999) ainsi que la majorité avec laquelle les accords sont adoptés (résolution du 6 juin 2013) doivent être inclus dans l'accord.

En outre, il est intéressant pour les lecteurs de garder à l'esprit les situations particulières suivantes :

  • Il est possible d'admettre une certification qui est transcrite dans l'acte lui-même (résolution DGRN du 7 avril 2011).
  • En cas de contradiction entre les résolutions mentionnées dans le certificat ou entre les résolutions mentionnées dans le certificat et d'autres documents en attente d'approbation, l'inscription au registre du commerce sera suspendue (décision du 21 décembre 2010).

Que se passe-t-il si la certification est délivrée par une personne non enregistrée ?

Conformément à l'article 111 du Règlement du Registre des Sociétés, concernant les certifications émises par une personne non inscrite, il est nécessaire de savoir que la certification de la résolution nommant le titulaire d'un mandat avec pouvoir de certification, lorsqu'elle est émise par la personne nommée, ne sera effective que si elle est accompagnée d'une notification fiable de la nomination au titulaire précédent, avec siège social, à l'adresse de ce dernier selon le Registre. 

Ainsi, il sera possible d'authentifier les résolutions d'une société au moyen d'un certificat délivré par une personne non enregistrée, à condition que cette personne ait été nommée à un poste avec des pouvoirs de certification (par exemple, administrateur unique ou conjoint de la société), et que cette circonstance ait été dûment notifiée à la personne qui occupait précédemment ce poste et qui est enregistrée à ce moment-là. 

Cette notification est accomplie et est réputée faite selon l'une des modalités prévues à l'article 202 du Règlement notarial, c'est-à-dire par l'envoi de l'acte de convocation par lettre recommandée avec accusé de réception ou par remise directe par le notaire lui-même au destinataire.

A cet égard, il convient de noter que, selon la doctrine de la Direction générale de la sécurité juridique et de la foi publique, en cas d'échec de la première notification par voie postale, une seconde notification en personne par le notaire doit être tentée (résolutions du 16 décembre 2013 et du 30 janvier 2012).

Dans ces cas, le greffier n'enregistre pas les accords certifiés avant l'expiration d'un délai de quinze jours à compter de la date de l'inscription de dépôt, délai pendant lequel le titulaire précédent peut s'opposer à l'enregistrement de l'inscription s'il peut prouver qu'il a déposé une plainte pénale pour fausse certification ou s'il peut autrement accréditer le manque d'authenticité de ladite nomination. Dans ce cas extrême, si le dépôt de la plainte est accrédité, cette circonstance sera enregistrée en marge de la dernière inscription, qui sera annulée une fois la plainte résolue, sans que ce dépôt n'empêche l'enregistrement des accords certifiés.

Nonobstant tout ce qui a été dit jusqu'à présent sur la nécessité de notifier le titulaire précédent, cela ne sera pas nécessaire lorsque le consentement du titulaire précédent au contenu de la certification est accrédité, au moyen de sa signature légitimée sur ladite certification ou dans un document séparé, ni lorsque la déclaration judiciaire d'absence ou de décès, d'incapacité ou de mort du titulaire précédent est dûment accréditée.

Enfin, il convient de noter que tout ce qui est expliqué sous cette question s'applique également à l'enregistrement de l'accord sur la nomination d'un bureau avec autorité de certification, qui a été rendu public par la personne nommée en vertu d'un acte ou d'un livre de minutes ou d'un enregistrement notarié de celui-ci.

Voir plus de questions fréquemment posées

Quel sera le contenu de la certification qui sera délivrée ?

En ce qui concerne le contenu de la certification, il faut se référer à l'article 112 du Règlement du Registre du Commerce, qui établit que les résolutions des organes collégiaux des sociétés commerciales peuvent être certifiées par transcription littérale ou par extrait, sauf dans le cas de résolutions relatives à la modification de l'acte ou des statuts, auquel cas la transcription littérale de la résolution sera obligatoire. 

L'attestation indique la date et le système d'approbation du procès-verbal correspondant ou, le cas échéant, que les résolutions sont consignées dans un procès-verbal notarié.

En outre, si les résolutions doivent être inscrites au registre du commerce, le certificat doit indiquer toutes les circonstances du procès-verbal qui sont nécessaires pour qualifier la validité des résolutions adoptées.

Dans le cas où les parties intéressées optent pour l'option de la certification par extrait, si les résolutions doivent être inscrites au registre du commerce, toutes les circonstances énumérées à l'article 97 du règlement précité doivent y être inscrites, avec les particularités précisées ci-après.

La certification doit donc contenir :

  • La date et le lieu sur le territoire national ou à l'étranger où la réunion s'est tenue.
  • La date et la manière dont l'avis de convocation a été émis, sauf dans le cas d'une assemblée générale ou spéciale. En outre, dans le cas d'une assemblée générale ou spéciale d'une société anonyme, cela doit être indiqué dans le journal officiel du registre du commerce et dans le ou les journaux dans lesquels la convocation a été publiée.
  • Le texte complet de la convocation ou, dans le cas d'une Assemblée générale ou d'une Assemblée universelle, les points acceptés comme ordre du jour de la réunion.
  • Dans le cas d'une réunion ou d'une assemblée générale, le nombre de membres présents ayant le droit de vote, en indiquant combien votent en personne et combien par procuration, ainsi que le pourcentage du capital social qu'ils représentent. 
  • ~Si la réunion ou l'assemblée est universelle, les noms des participants sont inscrits après la date et le lieu et l'ordre du jour, suivis de la signature de chacun d'eux.
  • ~Dans le cas d'un organe administratif collégial, les noms des membres présents sont indiqués, en précisant ceux qui sont présents en personne et ceux qui sont représentés par un autre membre.
  • Un résumé des points discutés et des interventions pour lesquelles un compte rendu a été demandé.
  • Le contenu des accords adoptés.
  • Dans le cas d'une réunion ou d'une assemblée générale, l'indication du résultat du vote, en précisant les majorités avec lesquelles chacune des résolutions a été adoptée (dans le cas d'organes administratifs collégiaux, les noms des membres présents sont indiqués, avec mention de ceux qui assistent en personne et de ceux qui assistent représentés par un autre membre).
  • Approbation du procès-verbal dans les formes prévues par la loi ou, à défaut, par les statuts, en l'absence de disposition expresse, approuvé par l'organe lui-même à l'issue de la réunion.

En tenant compte, en outre, en tant que particularités spécifiques, des points suivants qui doivent être expressément mentionnés dans la certification :

  1. Le capital total représenté par les actions des actionnaires présents ou, le cas échéant, le nombre de voix correspondant à leur participation, le nombre d'actionnaires ne devant être indiqué que lorsqu'il est déterminant pour la constitution valable de l'assemblée générale ou de l'assemblée ou pour l'adoption de la résolution.
  2. Si l'assemblée générale est universelle, il suffit d'indiquer que le procès-verbal contient les noms et les signatures des personnes présentes qui sont des actionnaires ou leurs représentants.
  3. Il n'est pas nécessaire d'inclure dans le certificat un résumé des questions discutées ou d'indiquer s'il y a eu ou non des interventions ou des objections.
  4. Dans le cas des organes de gestion, il n'est pas nécessaire de préciser le nombre de personnes présentes en personne ou par procuration.
  5. La certification indique que la liste des participants a été établie, le cas échéant, ainsi que les moyens utilisés à cette fin.

Enfin, dans tous les cas, la certification doit indiquer la date à laquelle elle est délivrée.

Quel sera le contenu de l'enregistrement effectué sur la base de la résolution d'entreprise adoptée ?

Une fois que l'acte correspondant a été exécuté, dans la plupart des cas, étant donné son contenu, il sera nécessaire de l'inscrire au registre du commerce, où l'inscription de la résolution sociale indiquera, outre les circonstances générales des inscriptions, le contenu spécifique des résolutions, la date et le lieu où elles ont été adoptées, ainsi que la date et le mode d'approbation du procès-verbal, s'il n'est pas notarié (article 113 du règlement du registre du commerce).

Comment puis-je accorder un acte de conversion des résolutions de la société en un acte public ?

Pour passer un acte de conversion des résolutions corporatives en acte public, il faut simplement contacter le bureau du notaire (en appelant le numéro de téléphone du bureau du notaire ou par courriel à mercantil@jesusbenavides.es) et prendre rendez-vous au jour et à l'heure qui conviennent le mieux aux parties à l'acte.

À la date et à l'heure convenues, les parties se présentent simplement chez le notaire avec la documentation nécessaire (voir la section sur la documentation nécessaire) pour signer l'acte correspondant, qui sera rédigé sur la base du contenu minimum légalement requis et des attentes et besoins des clients en question.

En tout état de cause, si les intéressés ont besoin d'une assistance concernant les modèles de certificats à partir desquels sont prises les décisions de l'associé unique nécessaires à l'exécution de l'acte en question, ils peuvent s'adresser à l'office notarial pour obtenir aide et conseils à cet égard.

Quand recevrai-je la livraison de mon acte d'exécution des résolutions d'entreprise ?

Si l'intéressé le souhaite, il peut se voir remettre une copie certifiée conforme de l'acte de conversion des résolutions corporatives en acte public le jour de la signature, mais dans ce cas, il doit se rendre au registre du commerce pour en obtenir l'enregistrement, car il s'agit d'une étape nécessaire dans la plupart des résolutions corporatives qui sont converties en acte public, comme indiqué ci-dessus.

Puis-je confier à l'étude du notaire l'inscription de l'acte au registre du commerce ?

Si vous le souhaitez, il est bien sûr possible de confier cette tâche à l'étude notariale elle-même, qui transmettra alors l'acte au registre du commerce par voie électronique pour enregistrement.

Une fois cette opération effectuée, la copie authentique de l'acte sera remise aux concédants, ce qui sera beaucoup plus utile, car le document pourra alors prendre pleinement effet.

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Étape 5

Où puis-je trouver les règlements pertinents ?

Étape 6

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